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  MARIAGE 19/04/2024 16 04 35 (UTC)
   
 

Le<!-

Le tuteur, la dot et les deux témoins honorables sont obligatoires pour qu’il y ait mariage valable. L’absence des témoins conduit à la non-consommation du mariage. Le minimum de la dot est d’un quart de dinar or ou de 3 dinar argent soit : 3 500f CFA                             .

Le père peut donner en mariage sa fille vierge sans son consentement même si elle est majeure ; une fille vierge ne peut être donné en mariage par un autre parent que si elle est majeure et avec son consentement, qui est acquis si elle ne dit rien contre.
Une femme divorcée ne peut être donnée en mariage qu’avec son consentement. Le fils d’une femme est plus qualifié que le père de celle-ci pour la donner en mariage, mais le père est plus qualifié que le frère de celle-ci. Un tuteur peut donner en mariage un garçon confié à sa tutelle mais non la fille sauf si le père de cette dernière l’y autorise.

On ne peut pas demander en mariage une femme déjà demandée par un autre musulman, ni proposer une dot supérieure pour acquérir cette femme.

Le mariage sans dot n’est pas valable, si la femme ne demande rien le minimum reste obligatoire ; ni le mariage à terme.

Un homme ne peut pas épouser ces femmes :

Sa mère, se fille, ses sœurs, ses tantes paternelles et maternelles, les filles de ses frères et de ses sœurs, les femmes qui vous ont allaites, ses soeurs de lait, les filles sous votre tutelle issues d’une femme avec qui vous avez consommé le mariage, les femmes de ses fils, ni deux sœurs, les femmes de son père.

La fornication n’interdit pas le mariage ultérieur avec des personnes licites d’épouser.

Une femme musulmane ne peut pas se marier avec un non musulman.

 La sodomie est une pratique interdite par l’islam. Le coran nous rappelle que dans le passé un ville du nom de Sodome fit anéantie par Dieu car les habitants pratiquaient cet acte ; les homosexuels le font aussi, un musulman ne doit pas imiter quelqu’un qui est banni par l’islam, ni commettre un acte condamné par la charia. Certains à tort, essaie de justifier cette pratique et leur vice inavoué en se basant sur ce verset : «  Nisâ-oukoum harçou lakoum fa-atou harçakoum anâ chi-atoum wa qadimoûl li anfousikoum »’vos épouses sont pour vous un champ de labour allez au champ quand vous le voulez et oeuvrez pour vous à l’avance’(Baqara, verset 223)  Nous devons comprendre ici que le mari peut avoir des rapports avec son épouse    ( en dehors de ses menstrues, durant cette période il est strictement interdit de les approcher) autant de fois qu’il le désire (sans la forcer car le viol n’est pas permis) car elle est pour lui un champ , une source de procréation ; mais cela ne veut pas dire que le mari a le droit de pratiquer la sodomie car  il est bien dit ‘quand vous le voulez’ et non ‘comme vous le voulez’, n’oublions pas que Dieu a dit qu’il a crée chaque chose pour une fonction déterminée, et les organes sexuels mâles et femelles ont été crées pour la procréation . Ce dernier verset montre bien que l’acte conjugal est un acte de procréation (« oeuvrez pour vous à l’avance ») donc nous ne devons pas détourner ces organes de leur fonction originelle.

.Au disparu est imparti un délai de 4 ans à 
compter du jour où son épouse le signale, 
après cela la femme peut se remarier.

L’impuissant a un délai d’1 an pour se 
soigner, après ce délai le divorce 
interviendra en cas de non guérison et 
si la femme le 
souhaite.
Pas de mariage avec une femme en 
période de 
menstruation ou enceinte.

Observation des répartitions équitables
 des nuits entre épouses. Un polygame ne peut pas pour une raison quelconque déposséder une épouse de ses nuits 
de droit (Ayyé) pour le profit d’une autre épouse, s’il le fait l’enfant 
qui est conçu cette nuit là est dit : 
Domou 
haram.(enfant illegitime)

Interdiction de violence sur les femmes, 
un mari ne doit pas frapper sa femme 
sur son visage ou lui occasionner des blessures, 
seule une fine branchette est permise 
pour la frapper, les femmes sont les 
sœurs germaines des des hommes.

Un homme ne peut pas rester 4 mois 
consécutifs sans avoir des rapports 
avec sa femme, si ce n’est pour cause 
de maladie ou d’absence ; dans ce cas dernier l’homme doit avant de 
s’absenter pour une longue 
durée, demander l’avis de son ou ses 
épouses et avoir leur consentement 
sur les modalités ; autrement l’absence volontaire de rapports conjugaux de 
plus de 4 mois consécutifs entraîne la 
rupture des liens du mariage.

L’idda est de 3 qur (période de pureté 
légaleentre les menstrues) pour les 
femmes divorcées avant remariage.

L’idda pour la veuve est de 4 mois 10 
jours

Toute femme répudiée a droit au 
logement 
et à la nourriture (si elle n’a pas été 
répudiée 
3 fois). Elle ne sortira de la maison 
qu’après avoir terminé son idda

Une femme pendant ses menstrues ne 
peut pas être répudiée, on doit 
s’assurer qu’elle n’emporte pas une grossesse.

Une femme enceinte ne peut être 
répudiée que 60 jours environ après accouchement. 
L’enfant sera toutefois reconnu par le 
père et la pension alimentaire 
obligatoire pendant 
toute la durée de l’allaitement (2ans) à 
la charge du mari.

La femme est considérée comme le complément de l’homme

L’islam reconnaît que la femme a sa 
nature propre (tendre mais d’humeur changeante)

Elle est anoblie par l’islam, ce qui lui 
donne droit à l’éducation religieuse et 
au savoir.

Elle a droit à l’honneur et à la dignité 
car elle est le fondement de la société. 
Elle doit s’éloigner de tout vice, des 
mœurs douteux, 
de l’exhibition, l’exagération dans les 
parures et la mixité.
Elle doit être traitée avec bienséance 
et gentillesse.

Le mari doit subvenir se besoins selon 
ses moyens

Elle a droit à l’héritage (Nisâ, verset7)

Il est interdit de l’opprimer ou de 
l’empêcher de se remarier (Nisâ, 
versets 19 à 21)

Elle doit l’obéir et se rapprocher de 
Dieu comme l’homme

Elle ne peut être répudiée que selon 
des règles minutieuses (Nisâ, versets 128/129)

Interdiction d’accuser des femmes 
chastesElle a droit au mariage

Le divorce, la pension alimentaire, 
la viduité répondent à des règles 
précises (Talaq, versets 1/2)

Une jalousie saine est tolérable

Le coran dit que la femme peut gagner 
son paradis en observant ceci :

-                    Faire ses 5 prières

-                    Jeûner le mois de Ramadan

-                    Etre chaste

-                    Obéir à son mari

L’islam dit que l’on doit faire preuve de 
patience envers elles malgré leur comportement et que l’on ne doit 
pas s’attendre qu’elles soient parfaites

Les épouses doivent être traitées avec 
équité en tout. Il n’est pas permis 
d’afficher sa préférence pour une 
épouse précise au détriment des autres.

 

Elles ont droit de garde des enfants en 
cas de divorce, les garçons jusqu’à leur 
puberté, les filles jusqu’à leur mariage. 
Au cas où elle ne peut pas le faire pour raison d’indigence 
ou de maladie grave ou de mœurs 
dissolues 
ou de remariage, la garde des enfants 
sera confié à la grand-mère, ou à la 
tante maternelle sinon aux sœurs et 
tantes paternelles.

 

Le mariage en Islam se caractérise 
par sa grande simplicité.

Avant toute chose il faut vérifier chez 
les futurs époux qu’il n’y a pas de 
raisons pouvant empêcher la validité 
du mariage comme l’état de Mahram* 
dû à la parenté ou à l’allaitement.

Dans le mariage musulman il n’y a pas 
de règles vestimentaires particulières.

La fille donne son consentement à une 
personne de sa famille qui va la 
représenter lors de la cérémonie 
religieuse : ce sera son tuteur.

Lors de cette cérémonie, un sermon 
est récité, après quoi l'Imam demande 
au représentant de la fille si cette 
dernière a donné son accord.

L’imam s'assure ensuite de l'accord de
l'époux.

L’imam rappelle le montant de la dot 
(Mahr) 
fixée, après quoi le mariage est conclu. 
Aucune autre cérémonie n'est 
nécessaire.

Il est conseillé concernant la dot (Mahr) qui 
sera remise à la jeune marié, de fixer 
un montant abordable.

La présence de témoins et d’un tuteur 
lors de la conclusion du mariage est obligatoire. 
Le Prophète (bénédiction et salut 
soient sur lui) à dit : « Pas de mariage 
sans un tuteur et 
deux témoins » (rapporté par At-Tabarani).

Le mariage doit être déclaré compte 
tenu des propos du Prophète 
(bénédiction et salut soient sur lui) : « Déclarez le mariage » (rapporté 
par l’imam Ahmad).

Il est recommandé après le mariage 
de faire 
un repas, en fonction de ses 
possibilités 
financières, et de convier à cette 
occasion 
des personnes de la famille et des 
amis.

Personne n'a le droit en Islam 
d’imposer à 
une fille le mariage avec quelqu'un. 
Son père 
ou sa mère peuvent la conseiller. 
Mais le 
choix final revient à la fille seule.

Concernant le tuteur, ce doit être un 
homme, musulman, sain d’esprit, 
majeur, libre, et équitable.

La norme du mariage musulman est 
la monogamie, cependant dans 
certaines 
conditions la polygamie est acceptée. 
Une femme musulmane ne peut être 
forcée 
à devenir une seconde épouse, 
d’autant plus 
que la première femme musulmane a 
le droit 
de demander le divorce en cas de 
désaccord avec son mari musulman 
sur le 
fait de vivre en polygamie.


*
Le Mahram : d'un homme ou d'une 
femme 
est celle ou celui avec qui le mariage 
n’est 
pas permis pour trois raisons :

Nasab : Le lien de parenté (
sont interdit 
le père et la mère pour les enfants et 
inversement, le frère et la sœur, l'oncle 
et la tante pour les neveux et nièces et 
inversement).

Radhâ'ah : L’allaitement (Les jeunes 
hommes et jeunes filles qui ont été 
allaitées 
par une même femme ne peuvent se 
marier ensemble, un jeune homme ne 
peut épouser 
la femme qui l’a allaité et inversement 
et une 
jeune fille ne peut épouser le mari de 
la 
femme qui l’a allaité).

Mousâharah : Le lien établi à la suite 
d’un 
mariage (L'homme n'a pas le droit 
d'épouser 
la mère de son épouse, même après une 
éventuelle séparation entre eux)

. La femme en Islam, ainsi que le 
mariage, 
sont certainement des sujets qui font 
couler beaucoup d’encre de nos jours.

Avant de commencer, voici un hadith 
(parole du prophète Mohammad, Paix 
et Bénédiction Sur Lui) rapporté par El Tirmidhi : “Le plus parfait des croyants 
est celui qui a la meilleure conduite.
Les meilleurs d’entre vous sont ceux 
qui sont les meilleurs avec Leurs 
femmes“.


Que dit l’Islam sur la femme 
musulmane?

Le Coran indique clairement que la 
seule 
base de jugement entre le musulman et la 
femme musulmane est la piété et non 
pas le fait d’être homme ou femme.

L’éducation des filles musulmanes en 
Islam 
est un devoir.

La femme musulmane a le droit de 
travailler.

Une fille musulmane a la possibilité 
d’accepter ou de rejeter des 
propositions de mariage. Le mariage 
forcé à l’encontre de la 
fille musulmane est interdit.

La religion musulmane prescrit la 
gentillesse 
envers les parents et essentiellement 
envers l
es mères musulmanes. Ne dit on pas : 
“Le Paradis se trouve aux pieds des 
mères”.

La garde des enfants après le divorce 
est 
donnée à la femme musulmane jusqu’à
 ce 
que l’enfant soit âgé de sept ans.

La femme musulmane se doit d'être 
bien 
traitée par son mari.

 Enfin les femmes arabes, et 
musulmanes 
plus généralement, décident de parler 
d’un problème fort destructif au sein de 
la famille : le problème du mari qui trahit
 son épouse.

Ce problème n’apparait pas 
soudainement 
du jour au lendemain, mais est plutôt 
le 
résultat d’un ensemble de fautes 
accumulées. Or certains conseils 
prodigués par la religion 
islamique peuvent éviter aux couples 
de 
tomber dans cet écueil.

Aicha, la mère des croyants, à travers 
les hadiths de son époux, le prophète Mohamad 
(SAW), donne aux femmes 
musulmanes le 
secret pour conserver et orienter leur 
famille 
vers la bonne voie ; secrets valables à 
n’importe quelle époque.

Mohamad (SAW) ordonna, entre autre, 
aux femmes de permettre à leurs 
hommes d’assouvir leurs besoins tant 
que ceux-ci ne constituent aucune 
contradiction avec les instructions 
islamiques.


 
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